No Website do Hôpital Necker-Enfants Malades, que aconselhamos a visitar, encontramos um estudo histórico sobre a arquitectura hospitalar.
A concepção do novo Hospital de Todos os Santos, segundo depreende-se de informação publicada na Intranet disponível e da entrevista da Dra. Teresa Sustelo ( ver Link - Tempo Medicina ), inspira-se nas construções hospitalares classificadas como monobloco, característica das décadas de 1930-1970, e que já está ultrapassada.Desde 1980 opta-se, preferencialmente, pela contrução de vários edificios integrados, e esta é a solução arquitetônica que permitirá a manutenção da sua identidade pediátrica no caso de ser realmente construido o novo Hospital de todos os Santos. Consideramos para alem da existência de um edificio diferenciado dentro do parque hospitalar será obrigatória a continuação de ligação administrativa ao espaço do actual hospital que é inalienavel. Este Hospital para alem de rectaguarda e sede de alguns Serviços e consultas deverá estar ligado a investigação na area da saúde materno e infantil.
Somos pelo progresso integrador de experiências e espaços e não retrocesso histórico puramente economicista.
Obs:Agradecemos contra argumentos.
Resumo do artigo citado acima:
L'hôpital monobloc, symbole de la médecine triomphante
Hôpital Henri Mondor
© AP-HP
Dans la première moitié du XXe siècle, les victoires contre la contagion hospitalière remettent en cause le principe de l'isolement et de la limitation des étages. La découverte des antibiotiques a progressivement raison des hôpitaux villas. L'intégration de la dimension économique de la santé dans la construction des hôpitaux engendre un nouveau modèle, conçu aux Etats-Unis, dans lequel la rationalisation des fonctions et des coûts s'exprime par la verticalité.
Dans le nouveau Beaujon, conçu par Jean Walter en 1932 et ouvert à Clichy en 1935, les circulations convergent vers un unique pôle vertical. Les pavillons se superposent pour donner naissance aux niveaux : l'hôpital bloc est né.
La réforme hospitalo-universitaire de 1958, en faisant de l'hôpital un lieu de soins, de recherche et d'enseignement, conforte cette architecture hospitalière qui impose une image toute puissante de la médecine. C'est l'ère des bâtiments très fortement technologiques, comme l'hôpital Henri-Mondor à Créteil (1969) ou encore Antoine-Béclère à Clamart (1971), modèle de l'hôpital bloc en rond-point central. Au cours des années 1970, même si le principe de la verticalité demeure, les blocs commencent à se juxtaposer, positionnés sur une base de plus en plus large dédiée au plateau technique, symbole d'un hôpital toujours plus performant.
L'hôpital polybloc, ouvert sur la ville
Hôpital européen Georges Pompidou
© AP-HP
Après les années 1980, les concepteurs d'hôpitaux tentent de concilier, par les choix architecturaux et urbains, la fonctionnalité et l'humanisation. Ils choisissent de prolonger la ville dans l'hôpital en organisant les fonctions le long d'une vaste rue intérieure. C'est sur ce principe qu'est conçu l'hôpital Robert-Debré, construit entre 1982 et 1988 par l'architecte Pierre Riboulet. L'hôpital-îlot se glisse entre le périphérique et les boulevards des maréchaux. La monumentalité socle-tour disparaît au profit d'un jeu plus urbain de volumes compacts. Un soin particulier est apporté à l'ambiance interne et à l'éclairage naturel.
Le nouveau Saint-Louis (1989) traduit un concept d'hôpital bloc avec un esprit pavillonnaire : au-dessus d'une dalle horizontale, les pavillons marquent les différents espaces de l'hôpital.
Le concept architectural de l'hôpital européen Georges-Pompidou s'appuie sur quatre principes majeurs : ouverture, fonctionnalité, confort, sécurité. Son architecte Aymeric Zublena a imaginé un ensemble de bâtiments reliés les uns aux autres par des cours intérieures. L'organisation de l'espace est facilitée par une rue hospitalière piétonne couverte d'une verrière qui relie les trois entrées de l'établissement.
Pedro Paulo Mendes
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